« Cette histoire est sur le fond un sujet universel, car la solitude de l’enfant, son besoin d’être aimé et reconnu sera vécu de la même manière où qu’il se trouve dans le monde et quel que soit son milieu. La difficulté à se reconstruire par la suite sera, elle, plus dépendante du tissu social dont il est issu et des ressources dont il disposera. »
Les mots d’Anthony Delon font écho à la mère que je suis…
Ce récit intimiste nous conduit dans le « clan Delon », avec ses hauts et ses bas. Un père bouleversé par une enfance houleuse, une mère présente mais accaparée par son métier d’actrice, une amie : Mireille Darc attentionnée, bienveillante et douce, un parrain protecteur.
Et puis, et puis, la puissance de vos mots lorsqu’il s’agit de parler d’accompagner votre mère jusqu’au dernier jour …
Je suis touchée, émue et admirative.
J’ai beaucoup aimé vous lire @therealanthonydelon Vous êtes honnête et droit dans vos mots. Merci !
Votre témoignage est bouleversant
« Pour pardonner, il faut déjà comprendre. »
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